La télépathie synthétique ou controle psychotronique de vos pensées

La télépathie synthétique ou controle psychotronique de vos pensées

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La télépathie synthétique aussi connue sous le nom de psychotronique  est un terme utilisé pour décrire le processus par lequel se fait l’interface Neuro-computer. Le signal électromagnétique produit par la pensée humaine est intercepté, traité par un ordinateur puis renvoyé au cerveau. (ref 1,2,3,4)

                                              Histoire
En 1967, Edmond M. Dewan a publié un article dans la revue Nature qui faisait  référence au contrôle des ondes Alpha ,  les faisant « switcher »  on / off, pour produire un code Morse (ref 5) en utilisant un EEG. 
Dewan et d’autres chercheurs par la suite ont réussis à transmettre des mots et des phrases juste par la pensée.
En 1976, Robert G. Malech c’est vu attribué aux USA le brevet  3951134 pour l’influence à distance sur les ondes du cerveau à l’aide d’une radio(ref 6). 
Ce brevet faisait déjà référence à la démodulation des ondes pour les transférer à un computer pour les analyser. 
En 1988, Farwell, L.A. & Donchin, D.  a décrit une méthode de transfert d’une   information linguistique usant le  système P300 (ref 7). Ce système combiné l’information obtenue à la pensée du sujet. Dans ce cas précis la sélection d’une lettre de l’alphabet à laquelle le sujet en pensée
 
USA brevet 6,011,991, attribué en Janvier 4, 2000, décrit une méthode de  contrôle du cerveau humain à distance pour communiquer. Déposé en Décembre 7, 1998, un brevet décrivait un système capable d’enregistrer une onde cérébrale à l’aide d’ un capteur et la transmettre via un satellite à un ordinateur pour l’analyser. Cette analyse déterminerai si un individu pouvait communiquer un « mot, phrase, ou une pensée qui correspondrait au signal initial » (ref 8).
                                             THÉORIE

La télépathie synthétique peut être caractérisée par 2 groupes majeurs, l’un passif et l’autre actif. Un opérateur radar peut être passif ou actif.

 

La réception passive c’est l’aptitude de « lire » un signal sans en transmettre un autre. C’est comparable à l’écoute d’une station radio – le cerveau génère une onde électromagnétique qui peut être captée à distance. La qualité de l’interception dépend de la sensibilité du récepteur. Cette dernière est caractérisée par sa longueur d’onde et la qualité des filtres.
La plupart des chercheurs au budget limité utiliseront pour cette étude un EEG ou un appareil équivalent aux performances plus ou moins rapprochées.    
 Pour cette même étude, les militaires ont bénéficié d’un budget colossale  pour  développer cette technologie de surveillance (ref 9). Ce système de surveillance portant nom TEMPEST. En 2001, le congres américain c’est opposé à cet arme « Space weapons » (ref 10). Ironie le mot tempest comme verbe signifie RAGE et comme nom c’est un orage. 
Robert G. Malech’s a déposé un brevet( en 1976) d’une machine qui en émettant une onde électromagnétique interfère après IMPACT  avec les ondes du cerveau humain. L’onde de choc retour est captée par la machine qui l’amplifie, la module pour ensuite l’envoyer vers un computer pour être  analysée et traitée. http://humanrights.yuku.com/topic/541    
                   Domaines de recherches actuelles
En 2010, les militaires américains ont avoués à « demi-mots » des recherches dans ce domaine pendant la « guerre froide ». Des documents dé-classifiés ont été mis à la disposition du grand publique. Mais d’autres sources officieuses indiquent que ces armes sont actuellement déployés dans des zones de combat pour dérouter les troupes ennemies.  On soupçonne, d’autre part,  l’utilisation de ces armes sur des civils et pour la déstabilisation de certains gouvernements à travers le monde (ref 11, 12).
Aujourd’hui, la communication militaire sur le « terrain » semble silencieuse et discrète. 
  • Plus de 4 million $ ont étés attribués à DARPA pour l’an fiscal 2009/2010 afin de développer un système appelé- « Silent Talk » (ref 13). Les recherches sont menées par The Cognitive NeuroSystems Lab at UC Irvine (ref 14). 
  • Un budget équivalent de 4 million $ a été alloué par l’armée à une institution civile en l’occurrence the University of California pour la fabrication d’un computer dédié à « synthetic telepathy »(ref 15). Les recherches devraient déterminer, utilisant EEG, la signature neurale d’un mot avant sa vocalisation et surtout savoir si le modèle ainsi repéré pouvait être généralisable (ref 16). 
  • Cette étude complète un programme de 70 $ initié en 2000 qui avait pour but de développer un hardware pouvant s’adapter aux métabolismes de son utilisateur (militaire)- (ref 17)
  •  Des images ont étés extraites du cerveau. Japan’s ATR Computational Neuroscience Laboratories ont réussis à reconstituer des images que le sujet regardait. Le but suprême de ce projet est de pouvoir visualiser en temps réel l’image de la rétine et celle qu’on imagine dans sa tête et cela implique aussi les rêves (ref 18).
                               Computer médiation 
Computer médiation  est classé en 2 catégories, l’une dite  interprétative et l’autre interactive.
La médiation Interprétative est passive et se contente d’analyser les signaux affluents du cerveau humain. Le computer « lit » le signal puis le compare dans sa DATABASE  aux autres signaux et leurs interprétations.
L’erreur au fil du temps diminue et l’interprétation du signal s’améliore.
La médiation interactive peut être en position passive-active ou bien en mode active-active. Dans les 2 cas, passive et active la fonction principal est de CONTRÔLER le CERVEAU. Par la vertu des ondes magnétique on « lit » et « écrit » à votre cerveau. Par infraction on essaye de vous contrôler!
La médiation interactive peut être utilisée manuellement ou via AI – Intelligence artificielle. Elle requiert un opérateur « humain » qui renvoie un signal de retour qui peut être soit un discours soit une image. 
 
La médiation AI explore le système cognitif du sujet pour identifier les images,  les discussions, objets, les bruits et d’autres fonctions. Il est préférable, d’après le manuel, de développer des routines AI pour cette exploration spécifique.
 
Les systèmes basée sur l’intelligence artificielle dits AI déterminent des sensations, des impressions mentales, l’humour et des conversations pour se faire une idée de la personnalité de la victime. Ces systèmes intelligents non seulement peuvent générer des monologues mais ils peuvent aussi être utilisés comme moyens de communications et de même mener des interrogatoires. 
Les derniers modèles en étude chez UC Irvine pour l’armée Américaine (ref 19).
 
Il parait qu’ils seront encore plus PERFORMANTS  pour combattre l’espionnage « industriel » et surtout le terrorisme. 
 
Des systèmes moins « performants »sont déjà opérationnels et déployés en toute discrétion par le monde.
                                        Usages militaires              
Les militaires les utilisent « strictement »pour la communication de leurs agents en service, pour les interrogatoires de « suspects » et bien-sur pour la collecte de renseignements à l’insu de la source. 
 
Il subsiste incompréhensiblement un problème majeur lors de son utilisation comme moyen de communication. On ne peut pas identifier malencontreusement l’origine de la transmission.  
Ainsi la télépathie synthétique a ses limites quand on l’utilise pour la communication à moins de s’équiper d’un casque muni d’un système de cryptage.
 
 Donc inefficace pour l’instant en situation de combat. 
La télépathie syntéthique, qui reste quand même une intrusion, requiert  une concentration particulière soutenue qui risque d’être fatale sur un champ de combat. 
 
En ce qui concerne la collecte de renseignements, la télépathie synthétique a encore ses limites. En d’autres termes, la manipulation psychologique est un facteur clé dans la collecte d’information et cela même fausse les données.  
 
Dans la pratique, la surveillance passive du monologue intérieur sur une longue période de temps (mois, années) est probablement la méthode la plus efficace de collecte de renseignements.
Plus la BASE DE DONNÉES est fournie et plus le système est fiable… 
 Disposant de la capacité de placer une personne dans un état d’hypnose, celle-ci  est souvent conseillée par les théoriciens de la conspiration.
Pour formuler la pensée, le cerveau ne dispose que d’un pipeline « imposé » à travers lequel l’information est traitée. Ainsi le canal de communication « Computer-Cerveau » étant  DÉLIMITÉ on a plus de chance de perfectionner et d’affiner la technologie. Le cerveau possédant des milliards de connexions synaptiques aléatoires simultanées, il fallait commencé par isoler une zone pour pouvoir prétendre comprendre le fonctionnement de cet organe.         
 Pour formuler la pensée, le cerveau dispose d’un pipeline à travers lequel l’information est traitée (ref 20).
 
À la base, les impulsions guident le comportement humain et la manipulation de ces impulsions donne un avantage stratégique à la fois de combat et des situations politiques. En modifiant les facteurs de motivation d’un sujet ou du groupe cible, il est plus facile de guider leur décision.
C’est pour çà qu’il faut intervenir en amont du processus de décision de la cible.
Un avantage certain en temps de guerre dans des situations de combat ou pour des décisions politiques critiques. 
 
Par génération d’impulsions, généralement communes à tous les humains, contre une foule de manifestants – on peut entraîner sa dispersion ou bien sa volonté de coopérer avec les autorités. 
 
Ce type de télépathie synthétique est sans doute un argument politique d’appoint puisque il supprime la dissidence.(Ref 21)
 
Le transfert à la mémoire, à court et à long terme, peut être inhibée par cette perturbation signalétique. Ainsi une Amnésie (rétrograde et antérograde) peut être provoquée.  Tout signal qui  interfère sur le fonctionnement normal du cerveau peut l’affecter d’une façon ou d’une autre.(ref 22)
 Les systèmes de vision et audition pourraient également être compromis, comme avec n’importe quel système de traitement de données, la corruption des entrées se traduirait par des hallucinations, un peu comme les effets du LSD. 
Avec une interface propre à ces régions, des évènements tels que «enlèvements extraterrestres» ou «voir Dieu» pourrait être assez facilement truqués. 
Sous le prétexte de « maladie mentale »  les victimes sont INTERNES  pour servir de COBAYES. (Ref 23, 24, 25)

Uniformité du Spectre du Son Silencieux  

                                                SSSS/S-Quad


ITV Nouvelles Service, en Mars 1991, a produit un rapport de l’échographie greffer sur une émission de radio commerciale (100Mhz) visant à entraîner le cerveau des soldats irakiens et en créant un sentiment de désespoir. La vertu des messages SUBLIMINAUX…(ref 26)

Cela a été lié au brevet US 5,159,703 attribué à M. Oliver Lowery « , qui se réfère à un « système de communication silencieux dans lesquels des sons  imperceptibles ( dans le spectre de fréquences audio très basses/ très élevés ou encore dans le spectre de fréquences ultrasoniques adjacentes)  propagés acoustiquement ou par vibration, pour persuader l’ennemi à son insu. Cela est généralement possible par l’utilisation de haut-parleurs, d’ écouteurs ou de transducteurs piézoélectriques.(ref 27) 

 

L’ouïe humaine est à peu près dans la gamme de fréquences de 20 Hz-20 à 
20 kHz _ mais un adulte perd la capacité d’entendre les gammes supérieures à mesure qu’il vieillit. En plus, la plupart des radios bon marché, ont une diffusion limitée qui rendra la diffusion du message subliminal silencieux  inefficace.(ref 28)

 

Pour parer à cette déficience technique on tentera d’exploiter les capacités naturelles de l’être humain, à savoir :

1. Amplification du  signal radio via la capacité des cellules à une certaine fréquence.
2. Démodulation du signal radio via la capacité des cellules à propager les ondes.
Cela n’est pas aussi bizarre que çà paraisse (ref 29)
                           CONTROLE DU CERVEAU 


La croyance populaire dans l’existence de probables complots par le monde et la référence ancrée  à la science-fiction facilitera l’endoctrinement et fera accepter  au monde que l’esprit humain peut être contrôlé à distance. 
Une fois endoctrinés, les individus peuvent être transformés en automates aveugles et contrôlés directement par des ordinateurs.(ref 30)
 Avoir des agents-dormants ou des assassins en territoire ennemi ( ?)


Interféré à distance pour « écrire » au cerveau est possible grâce à une interférence électrique.(ref 31)


La STIMULATION magnétique trans-crânienne produit des interférences qui troublent les sensations et les sentiments. (ref 32)
 L’amplitude  du  signal » extérieur » généré devra être plus faible que celle du système nerveux de la cible. Une amplitude supérieure du signal pourrait interrompre le flux neuronales qui pourraient entraîner la mort. 
 
Il existe 2 méthodes pour pousser un individu à tuer un autre à la disposition de la télépathie synthétique : 
  • La première c’est de tirer avantage des « prédispositions » d’ un individu afin  qu’il use ses capacités pour tuer une cible condamnée.
  • la seconde consiste à corrompre leur mental en le contrôlant et en amplifiant les pulsions de l’un pour qu’il tue l’autre (ref 33, 34) 
Dans les deux cas, les mécanismes sous-jacents sont les mêmes, à donner des impulsions et des sensations qui exhorte l’individu à commettre un assassinat. 


Ce n’est pas l’hypnose, mais simplement de la manipulation presque  physiologique à l’insu des cibles.

 
Un autre domaine un peu moins violent et plus ‘utile’ serait la manipulation des hommes politiques (ref 35)

Pensées, sensations et impulsions  peuvent être manipuler pour influencer les politiques et les gens prenant ‘les décisions ». Le même « processus » peut être utilisé sur la population pour oublier les « promesses politiques »  ou bien on peut maintenir l’influence de certains « groupes ». Condamner ainsi le choix libre et faire taire sur la libre expression.(ref 36)

  

Les gouvernants du Monde ENTIER devraient se concerter pour éviter tout dérapage inconscient – La maturation et l’expansion de cette technologie n’est plus à prouver.  


Sur la’toile’ la liste des victimes s’allonge un peu plus chaque jour (ref 37)


Pour éviter la PSYCHOSE et lever le voile sur cette technologie – Il faudra peut-être répondre à la question : 
‘ Qui a le DROIT de manipuler à distance sans l’accord du « manipulé » ? ‘
        
                                                   LA LOI

Le terme « psychotronique » – raccourci de psycho-électronique ( ref 38)  a été proposé dans l’ordonnance de 2001  _ Bill H.R. 2977 Space Preservation qui a  a mis « psychotronic »  dans la liste des armes spatiales qui devrait probablement être interdits (ref 39).
En 2001, le President Vladimir V. Putin a intégré un paragraphe dans la loi pour rendre illégal l’usage des armes électromagnétiques et des armes psychotroniques pour éviter les dérapages. 

Cet acte peut être qualifié de contre nature et son originalité ne peut pas excuser sa CRUAUTÉ.   AI médiation qui utilise une MACHINE  contre l’HOMME est en total contradiction avec la Convention de Genève qui impose une éthique aux hommes. Et surtout à ceux utilisant les machines.  

 
Le parlement Européen a adopté une résolution le 28 Janvier 1999 [38]28.1.99
Environment, security and foreign affairs A4-0005/99:

La résolution portée sur l’interdiction d’acquérir la technologie des nouvelles  armes dîtes  « non-létal »  et leurs développements.

 
sources :
 
1. http://www.msnbc.msn.com/id/27162401/ – Army developing ‘synthetic telepathy’
2. http://timesofindia.indiatimes.com/HealthSci/US_army_developing_synthetic_telepathy/articleshow/3596708.cms – US army developing synthetic telepathy
3.url=http://io9.com/5038464/army-sinks-millions-into-synthetic-telepathy-research – Army Sinks Millions Into « Synthetic Telepathy » Research
4. http://io9.com/5065304/tips-and-tricks-for-mind-control-from-the-us-military – Tips and Tricks for Mind Control from the US Military
5. http://cnslab.ss.uci.edu/muri/research.html#Dewan – MURI: Synthetic Telepathy
6. http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=US&NR=3951134&KC=&FT=E – Apparatus and method for remotely monitoring and altering brain waves
7. http://cnslab.ss.uci.edu/muri/research.html#FarwellDonchin – MURI: Synthetic Telepathy

Illuminatis, Preuve et plan général / Illuminati Proof and general plan

Des origines à nos jours. Les Illuminatis dominent maintenant tous les gouvernements et toutes les nations. La bataille finale contre l’humanité va bientôt commencer, nous serrons tous esclave de la plus machiavélique et satanique des dictatures ou l’horreur sera le quotidien des survivants, a moins que vous vous décidiez à agir …

Info : 13:53 de la vidéo, c’est ce qu’il ne me feront plus ressentir physiquement !



Origins to the present. The Illuminati now dominate all governments and all nations. The final battle against humanity will begin soon, we shake all slave of the most Machiavellian and diabolical dictators or horror will the lives of survivors, unless you decide to act …

Info: 1:53 p.m. of the video is that it does make me feel physically more!

 

 

Scientifiques américains faire avancer avec des implants de cerveau mémoire-stimulant, mais nous avons encore à craquer code du cerveau d’abord / US scientists push ahead with memory-boosting brain implants, but we still have to crack the brain’s code first

University of South California's hippocampus brain implant
Rien ne capte l’imagination comme l’idée d’un implant de mémoire. Non pas une puce impossible qui ressuscite en quelque sorte disparu des mémoires, mais plutôt un petit quelque chose supplémentaire qui donne le cerveau un avantage lorsqu’il s’agit de fixant de nouveaux souvenirs. Tout cela suppose bien sûr que les cerveaux stockent réellement choses plutôt que de simplement créer des réponses à des requêtesà la volée. Comme le dernier effort pour construire une sorte de « pont de la mémoire » maintenant prend forme au Lawrence Livermore National Labs (LLNL), on peut se demander peut ce dispositif fonctionne réellement ?
Jusqu’à présent le seul sérieux effort pour construire un dispositif implantable de mémoire était celle du laboratoire de Ted Berger à l’USC. Comme nous l’avons vu, avec juste un ensemble limité d’électrodes dans les régions hippocampiques et aucune idée quant à quels types de codes sont impliqués (Astuce : le code est il n’y a pas de codes), ils ont leur travail taillée pour eux. Le groupe LLNL, qui précédemment a contribué à la prothèse de rétine Argus II révolutionnaire prend maintenantune approche plus intégrée. Avec la récente annonce de l’Initiative fédérale de cerveau un grand financement, ils visent à construire multifonctions electro-optique-chemical capteur neurales-effecteurs.
Côté électrique, nouvelle technologie de gaufrette du LLNL utilisera assez élevé électrode comtes, peut-être des taches de 500-1000. Tandis que les puces de 11 000-électrode densité plus élevées ont été par pour le cours en analyse seul neurone, ces puces auront plus d’endroits clairsemée d’électrode. Guides de lumière intégrés fournira des conduites pour les manipulations d’optogenetic, et en prime canaux fluides bidirectionnelle pour n’importe quel nombre d’échanges chimiques sontégalement gravés dans. Pour câbler tout vers le haut, nouveaux connecteurs multiplexés normalisés sont également en cours.
L’application finale est vétérans avec traumatisme crânien pendantun quart de million d’entre eux. C’est une assez grande piscine de testpossibles. Pour montrer qu’ils sont sérieux, les bailleurs de fonds DARPA ont apporté dans un poids lourd du monde réel implant Medtronicà prêter son expertise et ses périphériques. Medtronic a été vantant les capacités de ses stimulateurs de Aptiva PC + S boucle fermée qui, enthéorie, utiliseront les données neurales enregistrées localement pourcontrôler la stimulation. Le problème est que pour l’instant il n’existe aucun algorithme de rétroaction clairement définis qui a été émise publiquement, si en fait il y a même une à huis clos. Pour autant que n’importe quel étranger cela peut idéalement dire « instantanées » contrôlent boucle, si elle ne va jamais être fermé, va Itinéraire par Medtronic siège lui-même avant de revenir vers le cerveau.
LivermoreSo pour l’instant, il a encore aller, aller, aller sur la fin de la quincaillerie, mais peu de progrès semble-t-il sur la compréhension intuitive de l’oléoduc de stimulation qui aurait quelque chose à voir avec la mémoire. En d’autres termes, vous mettez la chose exactement, et quels neurones précisément que vous pourriez vouloir contrôle ? Nous pourrions supposer que dans le régime plu de neurones toutes choses, les cellules du cerveau pourraient être nés égaux, mais ils ne finissent pas d’égalité. Les hiérarchies de contrôle et les chemins de l’activation préférée sortira inévitablement. Dans la même veine d’implants quiest FLAC bon gré mal gré dans le cerveau devrait identifier et cibler ces cellules pivot d’attelage ou les créer lui-même. Cela pourrait, par exemple, en fait en supprimant divers stimulants chimiques et affirmants via ce port intégré, nous l’avons mentionné. Ce que ces friandises et récompenses pourraient en fait être reste à voir.
Une autre technologie, que nous voulons parler ici, celui qui fera vraiment la stimulation cérébrale profonde précisément ciblées (SCP) possible, est d’avoir un modèle 3D réelle des régions du cerveau impliquée.Un des efforts plus prometteurs à cet égard est un nouveau travail pargroupe de Michele Tagliati du programme de troubles de mouvementdans le département de neurologie au Cedars-Sinaï. Ils ont créé des modèles anatomiques 3D de plusieurs cerveaux de patients d’IRM afin de faciliter le placement des électrodes DBS. À l’aide de simulations multiphysiques ils étaient ensuite paramètres de stimulation effective d’entrée en mesure d’optimiser les effets. Alors que ce genre de chose a été fait depuis des décennies pour construire mieux les implants cochléaires, seulement maintenant il commence à être appliquée au cerveau dans son ensemble en milieu clinique.

Nothing captures the imagination like the idea of a memory implant. Not some impossible chip that somehow resurrects vanished memories, but rather a little something extra that gives the brain an edge when it comes to laying down new memories. All this assumes of course that brains actually store things as opposed to merely creating answers to queries on the fly. As the latest effort to build some kind of “memory bridge” now takes form at Lawrence Livermore National Labs (LLNL), we might ask — can such a device actually work?

Until now the only serious effort to build an implantable memory device was that of Ted Berger’s lab at USC. As we have seen, with just a limited set of electrodes in hippocampal regions and no real clue as to what kinds of codes are involved (hint: the code is there are no codes), they have their work cut out for them. The LLNL group, which previously contributed to the groundbreaking Argus II retinal prosthesis is now taking a more integrated approach. With the recent announcement of ample federal BRAIN Initiative funding, they aim to build multifunction electro-optical-chemical neural sensor-effectors.

On the electrical end, LLNL’s new wafer technology will use fairly high electrode counts, perhaps 500-1000 spots. While higher density 11,000-electrode chips have been par for the course in single neuron analysis, these chips will have more sparsely distributed electrode locations. Integrated light guides will provide conduits foroptogenetic manipulations, and as an added bonus bi-directional fluid channels for any number of chemical exchanges are also etched in. To wire everything up, new standardized multiplexed connectors are also in the works.

The end application is veterans with traumatic brain injury — over a quarter-million of them. That is a pretty large potential test pool. To show they are serious, the DARPA funders have brought in a real-world implant heavyweight Medtronic to lend its expertise and devices. Medtronic has been touting the capabilities of its closed-loop Aptiva PC+S stimulators which in theory will use locally recorded neural data to control the stimulation. The problem is that for now there is no clearly defined feedback algorithm that has been publicly floated, if in fact there is even one in private. As far as any outsider can tell this ideally “instantaneous” control loop, if it is ever going to be closed, is going to route through Medtronic headquarters itself before coming back to the brain.

So for now, it’s still go, go, go on the hardware end, but little progress it seems on intuitive grasp of the stimulation pipeline that would have anything to do with memory. In other words, where do you put the thing exactly, and what neurons precisely do you might want to control? We might suppose that in the greater scheme of all things neural, brain cells might be born equal, but they do not end up equal. Control hierarchies and preferred activation paths will inevitably emerge. In the same vein any implant that is willy-nilly plopped into the brain should either identify and target these kingpin cells, or create them itself. This might, for example, by done by dispensing various chemical incentives and affirmants through that integrated port we mentioned. What these treats and rewards might actually be remains to be seen.

One other technology we want to mention here, one that will really make precisely-targeted deep brain stimulation (DBS) possible, is to have a real 3D model of the regions of the brain involved. One of the most promising efforts in this regard is some new work by Michele Tagliati’s group from the Movement Disorders Program in the department of neurology at Cedars-Sinai. They have created 3D anatomical models of several patient brains from MRI scans to aid in the placement of DBS electrodes. Using multiphysics simulations they were then able input actual stimulation parameters to optimize the effects. While this type of thing has been done for decades for building better cochlear implants, only now is it beginning to be applied to the brain at large in a clinical setting.

US scientists push ahead with memory-boosting brain implants, but we still have to crack the brain’s code first


Lawrence Livermore National Laboratory 

The Lawrence Livermore Microbial Detection Array (LLMDA) will be on board the International Space Station. Image courtesy of NASA. (Download Image)

LLNL biodetection system bound for space

Stephen Wampler, wampler1@llnl.gov (link sends e-mail), 925-423-3107

A biological detection system developed by Lawrence Livermore National Laboratory (LLNL) scientists that has found more than a dozen applications soon will be used in tests reaching a new frontier — outer space.

The Lawrence Livermore Microbial Detection Array (LLMDA) is a versatile tool that has been employed for all kinds of studies, from analyzing the purity of infant vaccines to detecting plague in a 14th century tooth, to learning more about combat wounds from soldiers injured in Iraq and Afghanistan.

Now a team of scientists from LLNL and three NASA research centers will use the LLMDA to study microbes that are associated with astronauts and found inside the closed environment aboard the International Space Station.

Researchers from NASA’s Jet Propulsion Laboratory in Pasadena; NASA’s Ames Research Center in Moffett Field, California; NASA’s Johnson Space Center in Houston, and LLNL have received a three-year, $1.5 million NASA grant for characterizing microbes using state-of-the-art molecular techniques.

“The aim of the project is to provide a survey of the microbial profiles inside the International Space Station and to evaluate the possibility of the presence of pathogens that could be harmful to the astronauts’ health,” said LLNL biologist Crystal Jaing, the project’s principal investigator.

The project, called Microbial Tracking-2, is a follow-on to NASA’s Microbial Tracking-1 (MT-1) that is currently sampling and studying airborne and surface-associated populations of microorganisms aboard the International Space Station. The third and final experiment in the MT-1 series was launched to the space station on April 8 on a SpaceX cargo resupply mission.

The Livermore LLMDA technology is a DNA-based detection system that does not require the culturing of samples, compared to traditional techniques that may require days. Additionally, many bacteria have trouble growing in culture at all or require unique culture media.

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LLNL biologists James Thissen and Crystal Jaing, along with scientists from three NASA research centers, will use the Lawrence Livermore Microbial Detection Array to study microbes that are associated with astronauts and found inside the closed environment aboard the International Space Station.

Processing samples in a day

“The LLMDA can process samples in about a day. And while traditional culturing often only covers 1 to 10 percent of the microorganisms present, the LLNL array provides about 50- to 100-fold greater coverage of microbes,” Jaing said.

Kasthuri Venkateswaran, a senior research scientist at the Jet Propulsion Laboratory (JPL), sees the use of the LLMDA as a way to ensure that there aren’t microbes in the space station that could be harmful to the crew’s health.

“We can have countermeasures once we know what astronauts are breathing in and breathing out,” Venkateswaran said. “Beyond the microbes affecting the crew, we need to know what’s in the environment and is riding on the cargo.”

The vast majority of microbes, upward of 80 percent, are innocuous to people, while only somewhere around 10 percent to 20 percent are harmful, according to Venkateswaran.

Some bacteria look for the opportunity to cause disease, Venkateswaran said, adding that microbes that are innocuous on Earth may behave differently under the extreme environment of space.

Space can affect the presence of bacteria

Among the bacteria that have been detected via gene sequencing on the space station are Corynebacterium (bacteria that could cause respiratory infection) and Propionibacterium (bacteria that could cause acne). Since the genes of these opportunistic pathogens were only detected from the space station samples, their virulence characteristics need to be confirmed.

Humans naturally play host to tens of billions of mainly innocuous bacteria. And one study has found that when a person enters a room, the individual adds 37 million bacteria to the air for each hour they remain there.

The LLNL and NASA research scientists anticipate gathering preflight, inflight and post-flight samples, with the preflight crew samples expected to be taken this fall and the inflight samples planned for spring 2017.

As envisioned, 18 air samples and 24 surface wipes will be taken for the space station environment and some 264 crew samples, including mouth, saliva and skin samples, will be gathered.

Previous NASA microbe studies have focused on either the crews or the environment inside the space station; this will be the first study to merge the two areas. Previous investigations of viruses in crew and the environment also have been conducted.

During the research effort, JPL researchers will receive all of the space station and crew samples for pre-processing to extract DNA and then distribute the biomolecules to LLNL and Johnson Space Center (JSC) for analysis.

JPL scientists will perform the microbiological analysis of the samples, using traditional culturing techniques and DNA sequencing to determine which microbes are alive.

LLNL’s researchers will focus on the molecular detection of microbes in the DNA samples, as well as any virulent or antibiotic resistant genes, using the LLMDA and DNA sequencing. The latter technology analyzes the genetic makeup of the DNA and the order of the material’s four bases — adenine, guanine, thymine and cytosine.

In addition to Jaing, the Livermore scientists working on the research include biologists Nicholas Be and James Thissen, computer scientist Jonathan Allen and biostatistician Kevin McLoughlin.

JSC researchers Satish Mehta and Duane Pierson will analyze the viruses in the samples and determine which viruses might be harmful to the crew.

An Ames Research Center scientist, David J. Smith, will be responsible for developing the air sampler that will be utilized for capturing microbes.

Already, LLNL scientists have been using the LLMDA and DNA sequencing to study previously collected air filter and dust samples from the International Space Station in preparation for the research.

Developed in 2008, the LLMDA permits the detection of any virus, bacteria or other microbe that has been sequenced and included among the technology’s 400,000 probes – on a one-inch wide, three-inch long glass slide – within 24 hours.

The LLMDA version to be used for the space station analysis can detect 12,609 species, including 6,906 bacteria, 4,776 viruses, 414 fungi, 143 protozoa and 370 archaea.

After the study is completed, NASA could potentially consider miniaturizing the LLMDA or a similar instrument to use on deep space missions with human habitation, Venkateswaran said.

“The crew could use the system before consuming food, drinking water or working in a closed area. If a crew member becomes ill, they could also use the system to help determine whether they’ve become sick through bacteria, fungi or viruses. This would enable NASA flight surgeons to administer the right kind of medicine to treat the illness.”

Once the LLMDA-type system is miniaturized, the system could be deployed in remote parts of the world and in extreme environments to assist scientists, emergency first responders and public health, Venkateswaran suggested.

https://www.llnl.gov/

https://en.wikipedia.org/wiki/Lawrence_Livermore_National_Laboratory

 

Weapons of perception: neuroscience and mind-controlled weapons… / Armes de la perception: les neurosciences et les armes de l’esprit contrôlé …

Advances in neuroscience offer the military the potential of mind-controlled weapons and performance enhancement. Are mind-controlled weapons and extra-sensory enhanced warfare techniques mere science fiction? Recent developments in neuroscience suggest not, with a new Royal Society report claiming that research in areas such as neuropharmacology, functional neuroimaging and neural interface systems could create a new breed of super soldier and diminish enemy ability.

Neuroscience is one of the most rapidly advancing fields in medicine, with highly-detailed imaging offering new insights into the way the brain works and direct brain interfaces enabling weapons to be targeted and fired with just a thought. The technology is not speculative – just last week scientists unveiled an implant called BrainGate that enabled a woman who had lost the use of her limbs after a devastating stroke to control a robot arm using thought processes alone.


Les progrès des neurosciences offrent aux militaires le potentiel des armes de contrôle mental et l’amélioration des performances. Sont des armes de contrôle mental et les techniques de guerre améliorées extra-sensorielles simple science-fiction? Les développements récents en neurosciences suggèrent pas, avec un nouveau rapport de la Société royale affirmant que la recherche dans des domaines tels que la neuropharmacologie, la neuroimagerie fonctionnelle et des systèmes d’interface neuronaux pourrait créer une nouvelle race de super soldat et de diminuer la capacité de l’ennemi.

Neuroscience est l’un des domaines qui avancent le plus rapidement dans la médecine, avec l’imagerie hautement détaillée offrant de nouvelles perspectives sur la façon dont fonctionne le cerveau et les interfaces cerveau directes permettant armes à cibler et ont tiré avec juste une pensée. La technologie est non spéculative – seulement derniers scientifiques de la semaine a dévoilé un implant appelé BrainGate qui a permis à une femme qui avait perdu l’usage de ses membres après un coup dévastateur pour contrôler un bras de robot en utilisant des processus de pensée seul.

Neuroscience, conflict and security.

mind control

The new report, “Neuroscience, Conflict and Security”, formed part of a series that examined the impact of neuroscience on society, dealing specifically with the potential application of advances in neuroscience to the armed forces and security personnel.

It was chaired by Prof Rod Flower FRS, professor of biochemical pharmacology at the William Harvey Research Institute, Queen Mary University of London, and brought together international experts to discuss new developments in the field and the laws and ethics that apply to their application in a military and civil context. According to Flower, it was the first time the Ministry of Defence’s (MoD) Defence Science and Technology Laboratory (Dstl) had worked with academia in neuroscience.

“A key advance in neuroscience has been improvements in real-time neuro-imaging, which can indicate in great detail which parts of the brain ‘light up’ when undertaking certain activities.”

“The people we were in contact with there were the horizon scanning team whose job it is to look out for potential new applications of research,” Flower said. “We relied on what was publicly available, and while the US is extremely open about what its military does, the UK is not so open, and countries like Russia and China are a complete cipher.”


Le nouveau rapport, « Neuroscience, conflits et la sécurité », faisait partie d’une série qui a examiné l’impact des neurosciences sur la société, portant spécifiquement sur l’application potentielle des avancées en neurosciences aux forces armées et le personnel de sécurité.

Elle a été présidée par le professeur Rod Flower FRS, professeur de pharmacologie biochimique à l’Institut de recherche William Harvey, Université Queen Mary de Londres, et a réuni des experts internationaux pour discuter des nouveaux développements dans le domaine et les lois et de l’éthique applicables à leur application dans un contexte militaire et civile. Selon Fleur, ce fut la première fois que le ministère de laboratoire (MoD) Science et technologie de défense de la Défense (Dstl) avait travaillé avec le milieu universitaire en neurosciences.

« Une avancée majeure en neurosciences a eu des améliorations en temps réel neuro-imagerie, ce qui peut indiquer en détail quelles parties du cerveau » allument « au moment d’entreprendre certaines activités. »

«Les gens que nous étions en contact avec il y avait l’équipe d’analyse prospective dont le travail consiste à regarder dehors pour de nouvelles applications potentielles de la recherche», a déclaré Flower. « Nous nous sommes appuyés sur ce qui était accessible au public, et alors que les Etats-Unis est très ouvert sur ce que son armée le fait, le Royaume-Uni est pas ouvert, et des pays comme la Russie et la Chine sont un chiffrement complet. »

mind control

A key advance in neuroscience has been improvements in real-time neuro-imaging, which can indicate in great detail which parts of the brain “light up” when undertaking certain activities. One of its applications could be to screen potential recruits for a specific role, for example to see if they are temperamentally suited to be a commander, pilot or diver.

“At the moment it’s very much a case of taking people on and subjecting them to high-stress exercises and choosing the ones who make it,” says Flower. “If they could be subjected to imaging during assessment you could identify who has good risk-taking behaviour, strategy and planning ability, or 3D analytical skills.”


Une avancée majeure en neurosciences a eu des améliorations en temps réel neuro-imagerie, ce qui peut indiquer en détail quelles parties du cerveau « allument » au moment d’entreprendre certaines activités. Une de ses applications pourrait être à l’écran des recrues potentielles pour un rôle spécifique, par exemple pour voir si elles sont temperamentally adaptés pour être un commandant, pilote ou plongeur.

«À l’heure actuelle, il est très bien un cas de prendre les gens sur et en les soumettant à des exercices de stress élevé et de choisir ceux qui font», dit Fleur. « Si elles pouvaient être soumis à l’imagerie lors de l’évaluation que vous pourriez identifier qui a un bon comportement, la stratégie et la planification capacité de prise de risque, ou des compétences analytiques 3D. »

mind police

Brain scanning for target identification

Brain scanning could also speed up and improve target recognition or identify changes in surveillance satellite images by recognising subconscious objective identification rather than an operator having to process and actively react.

“It has been discovered that when you show the brain different images, it spots the differences between them even though they may not reach conscious awareness,” says Flower. “Wearing a helmet like a hairnet can pick up a spike in brain activity which you can correlate to differences identified between two images, even if they were flashed up too quickly to process consciously.”

That potentially has the ability not only to speed up the process of target selection but also improve accuracy. It could also reduce problems associated with fatigue, which is a big issue facing people whose job involves scanning images for a long time, especially in the dark, such as surveillance UAV operators.

Mind controlled weapons and aircrafts

Solutions for situational awareness – battlefield innovations

Situational awareness solutions allow soldiers to make effective use of varied information in a battlefield context.


balayage de cerveau pour l’identification des cibles

balayage du cerveau pourrait également accélérer et d’améliorer la reconnaissance de cible ou d’identifier les changements dans les images satellites de surveillance en reconnaissant l’identification objective subconscient plutôt qu’un opérateur ait à traiter et activement réagir.

« Il a été découvert que lorsque vous montrez le cerveau des images différentes, il voit les différences entre eux, même si elles peuvent ne pas atteindre la conscience», dit Fleur. « Le port d’un casque, comme un filet peut ramasser un pic dans l’activité du cerveau que vous pouvez établir une corrélation entre les différences relevées entre les deux images, même si elles ont été flashé trop rapidement pour traiter consciemment. »

Cela a potentiellement la capacité non seulement d’accélérer le processus de sélection de la cible mais aussi d’améliorer la précision. Il pourrait également réduire les problèmes liés à la fatigue, ce qui est un gros problème face à des gens dont le travail consiste à la numérisation d’images pendant une longue période, en particulier dans l’obscurité, comme les opérateurs de drones de surveillance.

L’esprit contrôlé des armes et des avions

Solutions pour la conscience situationnelle – innovations du champ de bataille

solutions de sensibilisation situationnelle permettent aux soldats de faire un usage efficace de l’information variée dans un contexte de champ de bataille.

brain control

Technologies such as the BrainGate implant have already shown that machinery can be controlled with the mind alone, and games manufacturers have already brought out low-cost helmet controllers than enable wearers to play by mind power alone. The obvious application for the military is mind-controlled weaponry and remotely-piloted aircraft, which could make operation and reactions far faster.

“If you couple that with your subconscious mind being much faster at dealing with information you can see a situation sometime in the future where you’re not thinking about flying the aircraft, but your subconscious is doing it without interfering in any way,” says Flower. “You would probably have a much better appreciation of an incoming threat and fire off a couple of missiles without having to consciously think.”


Les technologies telles que l’implant BrainGate ont déjà montré que les machines peuvent être contrôlées avec l’esprit seul, et les fabricants de jeux ont déjà mis en évidence les contrôleurs de casque à faible coût que permettre aux porteurs de jouer par la puissance de l’esprit seul. L’application évidente pour les militaires est l’armement de contrôle mental et les avions piloté à distance, ce qui pourrait rendre le fonctionnement et les réactions beaucoup plus rapidement.

« Si vous combinez cela avec votre esprit subconscient étant beaucoup plus rapide au traitement de l’information, vous pouvez voir une situation dans le futur où vous ne pensez pas à voler l’avion, mais votre subconscient est de le faire sans interférer en aucune façon», dit Une fleur. «Vous auriez probablement une bien meilleure appréciation d’une menace entrante et de déclencher un couple de missiles sans avoir à penser consciemment. »

digital brain

Drugs to stimulate troops and disable enemies

The report also examines evidence that certain drugs can improve the performance of personnel performing certain military tasks. Among these, drugs developed to relieve the symptoms of Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) in children, such as Ritalin, have shown great promise on unaffected adults who want to focus their attention on a specific task.

“It could help when flying a long mission where you may become fatigued and your attention begins to drift off,” says Flower. “It could also help you focus when you have a lot of information to process, like being a fighter pilot in a particularly tense situation when you’re trying to get a missile lock on a target while the aircraft and radio are bombarding you with information and you have to communicate back.”

Another approach that could improve the way the brain works is known as trans-cranial electrical stimulation where electrodes attached to a 9V battery are clamped to the head. Control studies showed it can improve the rate at which things are learnt, and possibly result in better memory formation.

“One controversial subject the report touches on is that of neuropsychology-inspired chemical weapons.”

One controversial subject the report touches on is that of neuropsychology-inspired chemical weapons, discussing the fact that although the international Chemical Weapons Convention (CWC) bans the use of chemical weapons on the battlefield, they are allowed for civil law-enforcement purposes.

“One of the problems is as far as anyone in our field can find, it’s not possible to find a totally safe drug that you could use,” says Flower, citing the example of the Moscow theatre siege in which 150 civilians died alongside their Chechen rebel captors.

“It’s partly because everyone’s unique and responds in different ways. If you start spraying it around you may affect children, women, men, pregnant women, old men, people taking other drugs, and people with heart disease. It won’t just be the 70kg healthy young men on which these drugs are tested.”

Flower is also keen to bust some myths about some chemicals that were reportedly tested for their effects on enemy troops.

“Oxytocin is a hormone that’s produced in pregnancy that produces a feeling of emotional closeness and trust,” says Flower. “There was a lot of talk that you may be able to use this as an interrogation tool to make your captive trust you and tell you all his secrets. But as far as we can tell that’s all nonsense.”


Les médicaments pour stimuler les troupes et désactiver les ennemis

Le rapport examine également la preuve que certains médicaments peuvent améliorer la performance du personnel effectuant certaines tâches militaires. Parmi ceux-ci, les médicaments mis au point pour soulager les symptômes du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez les enfants, tels que le Ritalin, ont montré de grandes promesses sur les adultes non atteints qui veulent concentrer leur attention sur une tâche spécifique.

« Il pourrait aider en volant une longue mission où vous pouvez devenir fatigué et votre attention commence à dériver», dit Fleur. « Il pourrait également vous aider à se concentrer quand vous avez beaucoup d’informations à traiter, comme étant un pilote de chasse dans une situation particulièrement tendue lorsque vous essayez d’obtenir un verrou de missile sur une cible alors que l’avion et la radio vous submergent de l’information et vous devez communiquer de retour « .

Une autre approche qui pourrait améliorer la façon dont fonctionne le cerveau est connu comme la stimulation électrique trans-crânienne où des électrodes fixées à une batterie de 9V sont serrées à la tête. Des études de contrôle ont montré qu’il peut améliorer la vitesse à laquelle les choses sont apprises, et peut-être aboutir à une meilleure formation de la mémoire.

«Un sujet controversé du rapport aborde est celui des armes chimiques neuropsychologie d’inspiration. »

Un sujet controversé du rapport aborde est celui des armes chimiques neuropsychologie d’inspiration, de discuter le fait que bien que la Convention sur les armes chimiques international (CWC) interdit l’utilisation d’armes chimiques sur le champ de bataille, ils sont autorisés à des fins de répression civile.

«L’un des problèmes est aussi loin que quiconque dans notre domaine peut trouver, il est impossible de trouver un médicament totalement sûr que vous pourriez utiliser», dit Fleur, citant l’exemple du siège du théâtre de Moscou où 150 civils sont morts à côté de leur tchétchène ravisseurs rebelles.

«Il est en partie parce que tout le monde est unique et répond de différentes manières. Si vous commencez la pulvérisation autour de vous pouvez affecter les enfants, les femmes, les hommes, les femmes enceintes, les vieillards, les personnes qui prennent d’autres médicaments, et les personnes souffrant de maladies cardiaques. Il ne sera pas seulement les 70kg jeunes hommes en bonne santé sur lesquels ces médicaments sont testés « .

Flower est également désireux de buste certains mythes au sujet de certains produits chimiques qui auraient été testés pour leurs effets sur les troupes ennemies.

« L’ocytocine est une hormone qui est produite pendant la grossesse qui produit un sentiment de proximité émotionnelle et de confiance», dit Fleur. «Il y avait beaucoup de discussions que vous pourriez être en mesure de l’utiliser comme un outil d’interrogation pour faire votre confiance captive et vous dire tous ses secrets. Mais pour autant que nous pouvons dire que ce non-sens.  »

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The ethics of neural war

Like automated weaponry and battlefield robotics, however, these new techniques could require an overhaul of ethical guidelines, especially with regards to civilian casualties. Currently the last person who gave the order to fire is responsible, but if it came from the operator’s subconscious, the line becomes blurred.

With advances in neuroscience holding such great potential for military applications, Flower would like to see the MoD to work closer with academia. One approach would be to have a two-way intern exchange between the MoD and academia.

“It’s not rocket science, the research is all out there, and most of it gets published,” says Flower. “It’s just a question of them being aware of it and able to pick up the ideas and exploit them before they read about it in Nature.”

Like automated weaponry and battlefield robotics, however, these new techniques could require an overhaul of ethical guidelines, especially with regards to civilian casualties. Currently the last person who gave the order to fire is responsible, but if it came from the operator’s subconscious, the line becomes blurred.

With advances in neuroscience holding such great potential for military applications, Flower would like to see the MoD to work closer with academia. One approach would be to have a two-way intern exchange between the MoD and academia.

“It’s not rocket science, the research is all out there, and most of it gets published,” says Flower. “It’s just a question of them being aware of it and able to pick up the ideas and exploit them before they read about it in Nature.”


L’éthique de la guerre neuronal

armement et champ de bataille robotique automatisé Comme, cependant, ces nouvelles techniques pourraient nécessiter une révision des directives éthiques, en particulier en ce qui concerne les victimes civiles. Actuellement, la dernière personne qui a donné l’ordre de tirer est responsable, mais si elle venait de l’inconscient de l’opérateur, la ligne devient floue.

Avec les progrès des neurosciences tenant un tel potentiel pour des applications militaires, Fleur aimerait voir le MoD à travailler plus étroitement avec le milieu universitaire. Une approche serait d’avoir un échange de stagiaire dans les deux sens entre le ministère de la Défense et le milieu universitaire.

«Il est pas sorcier, la recherche est tout là-bas, et la plupart de celui-ci est publié», dit Fleur. « Il est juste une question d’eux étant conscient et capable de ramasser les idées et les exploiter avant de lire à ce sujet dans la nature. »

https://mind-computer.com/2016/04/05/weapons-of-perception…

http://www.army-technology.com/features/featureweapons-of-perception-neuroscience-mind-controlled-weapons-and-the-military/

http://www.army-technology.com/features/featureweapons-of-perception-neuroscience-mind-controlled-weapons-and-the-military/featureweapons-of-perception-neuroscience-mind-controlled-weapons-and-the-military-2.html

http://www.army-technology.com/features/featureweapons-of-perception-neuroscience-mind-controlled-weapons-and-the-military/featureweapons-of-perception-neuroscience-mind-controlled-weapons-and-the-military-4.html

 

mind-computer / mind-weapon

Le viol que je vis a tous les jours, moi Mr. Patrick Charette, depuis février ou mars 2013 décrit ci-dessous,
——
Extrait de : https://mind-computer.com/2014/03/29/mind-weapon/ ci-dessous ;

C’est extrêmement pénible, douloureux et envahissantes et se sent comme sa esprit et le corps subit viols constante, 24 heures sur 24, 7 jours par semaine.

——

Rape I live in every day, me Mr. Patrick Charette, since February or March 2013 described below,

Taken from: https://mind-computer.com/2014/03/29/mind-weapon/ below;

This is extremely distressing, painful and invasive, and feels like one’s
mind and body is undergoing constant rape, 24 hours a day, 7 days a week.

Blog : https://patrickcharetteenquete.wordpress.com

Mind Weapons

TOP SECRET : Silent weapons for quiet wars / Armes silencieuses pour guerres tranquilles / Mind control / Contrôle des esprits

Ils attaques par une zone numérique et virtuelle / They attack by a digital and virtual area :

Directed Energy Weapons.

Some of the weapons were known as non-lethal weapons. They use such weapons
as extremely low frequency Elf electromagnetic weapons (which has been used
in mind control), acoustics, harmonics (which have been used as a mind
control technique), ultrasound, microwave audiograms, microwave pulsed, and
radio frequency. Another electromagnetic energy beam can be used to induce
“considerable agitation and muscular activity” or “induce muscular weakness
and lethargy” this weapon is know as Ultra High Frequency EM. Psychological
warfare tactics are being used against unsuspecting citizens to destroy their
jobs, their families and their lives. The perpetrators will stop at nothing.
Their objective is to utterly destroy a person, very often resulting in a
person taking his or her own life, or ending up in a mental hospital. This
has been taking place for years and nothing is ever said about it. Nothing is
ever written about it. Some people also experience electronic harassment.

Rape I live in every day, me Mr. Patrick Charette, since February or March 2013 described below,

Taken from: https://mind-computer.com/2014/03/29/mind-weapon/ below;

This is extremely distressing, painful and invasive, and feels like one’s
mind and body is undergoing constant rape, 24 hours a day, 7 days a week. The
technology used to do this is unknown, but hundreds of victims report the
same physical sensations and experiences. Many take their lives in an attempt
to escape the horror. The technology involves the use of electromagnetic
waves of various frequencies to achieve different results. Some frequencies
will make a person tired, while others may cause confusion or memory loss.
“Electronic harassment” or e-harassment is a catch-all term used to describe
a group of circumstances which a large number of people are currently
experiencing in common.

Saturday, Februar 19, 2011

BRAIN WAVE ANALYSERS
(Remote neural
monitoring &
electronic brain
linking, via sat – Pat
US #6011991, 1/4/00
A. Mardirossian)
To read the minds of
targets; to rob, rape,
terrorise and oppress
completely yet
covertly. Experiments
in mind control, AI &
cloning are also
carried out
To help interrogate
criminals
NEUROPHONES
(Sat-based – Pat US
#3393279 16/7/68 P.
Flanagan + Pat US
#3647970 7/3/72 P.
Flanagan)

To make the target
hear voices via the
laser/MW/R.wave
direction of sound
that’s been converted
to electrical impulse
to go straight to the
targets brain.
To communicate with
the deaf, stroke
victims etc

NOTE: Alone, or in conjunction with subliminal and visual
technologies, as well as role playing etc, these technologies can be
used for trickery including apparent schizophrenic episodes, paranormal
or “alien” encounters and much more.

Mr. Patrick Charette  » That’s what I feel physically, and I hear these voices from around February 2013  ».
——

Armes à énergie dirigée.
Certaines des armes étaient connus comme les armes non létales. Ils utilisent ces armes comme armes électromagnétiques de Elf extrêmement basse fréquence (qui a été utilisé dans le contrôle de l’esprit), acoustique, harmoniques (qui ont été utilisés comme un esprit maîtriser la technique), ultrasons, audiogrammes micro-ondes, micro-ondes pulsés, et radio fréquence. Un autre faisceau d’énergie électromagnétique peut être utilisée pour induire« agitation considérable et une activité musculaire » ou « induire une faiblesse musculaire et léthargie »cette arme est connu comme Ultra haute fréquence EM. Psychologique tactiques de guerre sont utilisés contre des citoyens sans méfiance pour détruire leurs emplois, leur famille et leur vie. Les auteurs ne reculent devant rien.Leur objectif est de détruire une personne, ce qui entraîne très souvent une personne prendre sa propre vie, ou se retrouver dans un hôpital psychiatrique.

Ceci qui se déroule depuis ans et rien n’est jamais dit à ce sujet. Rien n’est jamais écrit à ce sujet. Certaines personnes ressentent également le harcèlement électronique.

Le viol que je vis a tous les jours, moi Mr. Patrick Charette, depuis février ou mars 2013 décrit ci-dessous,
——
Extrait de : https://mind-computer.com/2014/03/29/mind-weapon/ ci-dessous ;

C’est extrêmement pénible, douloureux et envahissantes et se sent comme sa esprit et le corps subit viols constante, 24 heures sur 24, 7 jours par semaine.
——
La technologie utilisée pour ce faire est inconnue, mais des centaines de victimes rapport le les expériences et les mêmes sensations physiques. Beaucoup prennent leur vie dans le but pour échapper à l’horreur. La technologie implique l’utilisation d’électromagnétique ondes de fréquences diverses pour obtenir des résultats différents. Certaines fréquences fera une personne fatiguée, tandis que d’autres peuvent entraîner une perte de mémoire ou de confusion.E-harcèlement ou « Harcèlement électronique » est un terme utilisé pour décrire un groupe de circonstances dont un grand nombre de personnes est actuellement vivre en commun.
Samedi, février 19, 2011

https://mind-computer.com/2014/03/29/mind-weapon/

http://www.syti.net/SilentWeapons.html

CERVEAU WAVE ANALYSEURS
(Neuronal à distance
surveillance &
cerveau électronique
reliant, via sat – Pat
US # 6011991, 04/01/00
A. Mardirossian)
Pour lire l’esprit des
cibles; de voler, de viol,
terroriser et opprimer
encore complètement
secrètement. Expériences
dans le contrôle de l’esprit, AI &
clonage sont également
réalisée
Pour aider à interroger
les criminels
NEUROPHONES
(Sat-base – Pat US
# 3393279 16/7/68 P.
Flanagan + Pat US
# 3647970 03/07/72 P.
Flanagan)

Pour rendre la cible
entendre des voix via le
laser / MW / R.wave
direction du son
ce qui a été converti
à impulsion électrique
pour aller directement à la
cibles cerveau.
Pour communiquer avec
les sourds, accident vasculaire cérébral
victimes etc

NOTE: Seul, ou en conjonction avec subliminale et visuelle
technologies, ainsi que des jeux de rôle, etc., ces technologies peuvent être
utilisé pour la ruse, y compris des épisodes schizophréniques apparents, paranormal
ou rencontres « exotiques » et bien plus encore.

Mr. Patrick Charette  » C’est ce que je ressent physiquement, et j’entends ces voix depuis février 2013 environs  ».

Les Illuminati

ORGANISATIONS DES MAITRES DU MONDE
Les Illuminati

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite ». C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des « Maîtres du Monde ». Toutes ces organisations ont un siège social officiel et des membres dont on connaît l’identité. On connait aussi souvent les dates et les lieux de leurs réunions. Mais en ce qui concerne les Illuminati, on ne sait rien avec certitude, il n’existe aucun élément de preuve tangible. Tout ce que l’on peut écrire à propos des Illuminati n’est donc que déductions et croisement d’autres éléments comme des pistes historiques, ainsi qu’une étude du mode de pensée des élites, de leur façon caractéristique de voir le monde « de très haut », à très long terme, et à travers le prisme de leurs croyances.

Les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s’agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rockefeller (notamment l’incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR), les Bush, les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor et d’autres familles royales européennes.

Les Illuminati sont très peu nombreux, c’est l’extrême sommet de la pyramide. Ils ne sont pas des milliers à travers les Etats-Unis et le monde comme l’affirment certains « témoins » qui ont pour mission de brouiller les pistes. Les célébrités du showbiz n’en font pas non plus partie, même si elles en utilisent parfois les symboles pour mieux fasciner les foules.

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. Leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de perpétuer leur pouvoir sur la population.

La création des Illuminati marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su l’adapter aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple « club de réflexion » ou « réseau d’influence », ni une organisation de pouvoir comme le Groupe de Bilderberg. Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou « occulte ».

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Le terme « Illuminati » signifie littéralement « les Illuminés » (du latin « illuminare »: illuminer, connaître, savoir).

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour diriger l’humanité. Les Illuminati sont la perpétuation d’une société secrète très ancienne, la « Fraternité du Serpent » (ou « Confrérie du Serpent »), dont l’origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

La civilisation qui domine le monde aujourd’hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale: l’administration d’état, l’argent, le commerce, les taxes et les impôts, l’esclavage, les armées organisées, une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l’asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l’irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd’hui l’Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s’est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les « écoles de mystère » babyloniennes, égyptiennes puis grecques, l’église chrétienne de Rome (utilisée comme « véhicule » par la « Fraternité » pour s’implanter en Europe), les Mérovingiens (d’où le personnage « Mérovingien » dans le film « Matrix« ), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications – Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte…), et enfin les « Illuminati » et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

Les deux mentions en latin sont très significatives. « NOVUS ORDO SECLORUM » signifie « nouvel ordre pour les siècles ». En d’autres termes: nouvel ordre mondial. Et « ANNUIT CŒPTIS » signifie: « notre projet sera couronné de succès ».

Un projet aujourd’hui proche de sa réalisation finale.
© Syti.net, 2005

http://www.syti.net/Organisations/Illuminati.html

Mind Weapons Posted by Magnus Olsson on March 29, 2014 Posted in: Micro/Nano Brain Implant, Mind Control, Tech News. Tagged: BIOELECTRIC EWAPON, brain machine interface, cia, darpa, Micro/Nano Brain Implant, Military, mind computer, mind control, mind weapon, naval, Satellite, SYNTHETIC TELEPATHY, targeted individuals.

Mind Weapons